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Galerie d'art des collines

9 janvier 2024

Dès le 2 mars 2024, Raymond Saublains présente sa série "JAZZ".

Dernière nouvelle: l'artiste invité surprise est Vincent avec 11 toiles abstraites dans la petite salle; il expose en même temps à Bruxelles.

Raymond Saublains

Un regard singulier sur le jazz

Vernissage le samedi 2 mars 2024 de 17 à 20 h.

Pésentation des artistes à 18 h. 15.

Cliquer pour voir l'affiche SUBLAINS_AFFICHE_2

Vincent, un artiste plasticien, sera l'invité surprise

Présentation de la série consacrée au jazz montrée précédemment à l’espace Le Senghor, 1040 Bruxelles.
En février (date à choisir).
Raymond Saublains a photographié de nombreux artistes dont Cécile Miguel et René Huin qui ont exposé à la galerie.
"Il est plusieurs façons d’aimer le jazz : depuis son fauteuil, confortablement installé, à l’écoute d’un 33 tours − un vinyle, j’insiste, rien ne l’a remplacé (écoutez donc It never entered my mind par Miles Davis sur un CD, puis comparez) −, au concert ensuite, dans une salle surchauffée, ou en plein air, dans l’un de ces nombreux festivals que l’été accueille avec la mer en fond de scène ; en en jouant enfin, mais ce n’est donné à tout le monde, il est ici naturellement moins de pratiquants que de fidèles.
Mais il en est peut-être une autre, celle qu’a choisie Raymond Saublains, en s’immergeant dans les concerts et les loges, l’appareil photo à la main, comme si ce troisième œil lui offrait une plus étroite communion avec les jazzmen qu’il suit depuis longtemps."
Xavier Canonne
Directeur du Musée de la Photographie voir le site : Le Senghor | Raymond Saublains

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23 octobre 2023

Sous les regards de Picasso et Magritte : EXPOSITION Jean-Michel DESTERKE Jean DELCOURT, résidents de la Devinière.

EXPOSITION 

Jean-Michel DESTERKE

accompagné par le sculpteur Jean DELCOURT

les résidents de la Devinière

des élèves de l’Académie des Beaux-Arts de Châtelet

le samedi 18 novembre 2023, 17 h. 30 vernissage-cocktail

à la Galerie des Collines de Vaucelles

Ce sera un grand plaisir de vous rencontrer entre 17 h. 30 et 20 h. et de vous présenter cet artiste longtemps autodidacte puis formé à l’académie des Beaux-Arts de Châtelet.

Il sera accompagné par le sculpteur Jean DELCOURT, les résidents (handicapés mentaux) de la Devinière et les élèves de l’atelier de dessin de l’Académie des Beaux-Arts de Châtelet.

19/11/2023 – 17/12/2023, ouvert les samedis et dimanches de 14 h. à 17 h. et sur RDV par après.

Renseignements 0496 952 413         hubertjose2004@yahoo.fr       http://www.galeriedescollineshubert.com/

Jean-Michel Desterke présente différentes compositions issues de plusieurs séries
- « Regards », série d’aquarelles et peintures représentant uniquement des regards.
- « Picasso et les autres » série de peintures représentant Picasso et  quelques grands peintres du 20ème siècle.

- « L’inexprimé »  série d’aquarelles et acryliques réalisées en hommage à ces femmes maltraitées et silencieuses.
- « La ligne de vie, série de fusains et acryliques, représentant les rencontres de la vie.

- « La ligne rouge », série de fusains et acryliques représentant cet équilibre de vie à trouver.

Jean Delcourt qui s’affiche en tant que citoyen du monde présente des sculptures en bronze : « L'argent est d'argent, la santé est d'Or et je suis dans le bronze avec une santé de Fer ».

Les handicapés mentaux psychotiques du Centre la Devinière offrent leurs regards différents, en perspective avec ceux des élèves de l’atelier de dessin de l’Académie des Beaux-Arts de Châtelet.

La Devinière est un centre de psychothérapie institutionnelle fondé par Michel Hocq qui a ouvert ses portes en 1976 à Farciennes, en accueillant 19 enfants réputés schizophrènes et incurables. 30 ans plus tard, ces enfants devenus adultes vivent toujours à la Devinière, un lieu familier où ils se sentent chez eux. Un des derniers centres sans grilles, ni chimies, né du mouvement de l’anti-psychiatrie qui soignent les maladies mentales des enfants et des adultes par des traitements thérapeutiques fondés sur la réhabilitation et l’émancipation des personnes.

« N’avons-nous pas le devoir de rendre « habitables » ces lieux désertiques dans lesquels se sont égarés, souv ent à jamais, ceux que nous nommons psychotiques ? » Jean Oury, psychiatre.

INVITATION :

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DESTERKE RIMBAUD

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Le discours (3)

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17 juillet 2023

Maja POLACKOVA exposera à partir du 30 septembre: DECOUPER LES COULEURS, collages.

Maja POLACKOVA

Exposera à la Galerie des Collines de Vaucelles à partir du samedi 30 septembre (invitation à tous pour le vernissage). 

Cliquer sur le carton Maja_Polackova_Carton

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DECOUPER LES COULEURS,

collages.

Artiste collagiste, Maja Polackova vit et travaille à Bruxelles depuis plusieurs décennies.

Elle a réalisé de nombreuses expositions individuelles en Belgique et à l’étranger, comme aux Écuries de Waterloo en 2006 et 2016, au Musée Faure d’Aix-les-Bains en 2014, au Musée de Louvain-la-Neuve en 2015, ainsi que sa grande rétrospective à la Médiatine de Woluwe-Saint-Lambert en 2018.

MAJA POLACKOVA

Cliquer sur le lien youtube  pour voir le travail de l'artiste : https://www.youtube.com/watch?v=7hgmfBWf8EQ

C’est au collage qu’elle doit l’originalité de son écriture plastique. Du papier journal, son matériau spécifique, elle détourne le langage médiatique, n’en garde que des bribes et les réinvestit dans des chorégraphies de personnages toujours entre l’abstraction et la figuration. Que ces sujets soient individualisés ou groupés en un effet de masse, tout est indéniablement d’une esthétique superbe. Qu’ils soient de petite taille ou de grande dimension, les tableaux offrent plusieurs niveaux de lecture.

Chaque personnage a ses propres traits, uniques, malgré l’anonymat qui caractérise sa silhouette. Chacun a ses contorsions ou sa fixité particulières, son jeu de couleurs, sa forme étrange spécifique. Chacun transgresse les lois de l’anatomie humaine, comme voué à une gymnastique impossible ou à un simple être là, les pieds posé sur aucun sol. Chacun n’est-il pas d’ailleurs ici qu’une suggestion, qu’une forme devenue signe ? Un signe qui lorsqu’il est multiplié - plusieurs centaines dans les grandes œuvres -, ne se définit qu’en fonction des autres, ne prend son sens que par rapport à eux.

La couleur  occupe dans les tableaux de Polackova  une dimension essentielle et représente parfois même leur sujet principal.

La critique d’art Danièle Gillemon achève son étude Le theatrum mundi de Maja Polackova par le constat : « Nombre d’artistes modernes et contemporains ont partie liée avec l’écriture, qu’elle soit directement au cœur des œuvres dans une démarche conceptuelle, comme chez Magritte, Broodthaers, Ben, Eerdekens, Opalka… ou qu’elle fasse étroitement corps avec la peinture. Alechinsky, Dotremont ont fusionné étroitement peinture et écriture en les libérant des codes et en leur infusant la fantaisie la plus débridée. La démarche de Maja est comparable puisqu’elle dévoie des caractères codés, stéréotypés pour les rendre à la plénitude et à l’autonomie de l’image… »

( Les photos des oeuvres sont issues de POLACKOVA, collages au musée Faure, Aix-les-Bains, Art et mémoire, publication de la société d'art et d'hAistoire d'Aix-les-Bains, N° 79).

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19 mai 2023

L'EXPO DE MARC HUBERT EST PROLONGEE. MAJA POLACHOVA EXPOSERA A PARTIR DU 30 SEPTEMBRE

Le concert de ce vendredi soir à la galerie : "Bulles d'air" est complet.

L'exposition des œuvres de Marc HUBERT va être modifiée, certains tableaux vont changer; elle sera uniquement accessible sur RDV 00 32 496 952 413 ou huberjose21004@yahoo.fr.

 

Maja POLACHOVA


Exposera à la Galerie des Collines de Vaucelles à partir du 30 septembre

 

Elle a exposé ses collages aux Ecuries à Waterloo en 2006, au musée Faure à Aix-les-Bains, lors d’une rétrospective en 2018 , à Woluwé-Saint-Lambert à la Médiatine en 2018.


Artiste collagiste, Maja Polackova vit et travaille à Bruxelles depuis plusieurs décennies. 

C’est au collage qu’elle doit l’originalité de son écriture plastique. Du papier journal, son matériau spécifique, elle détourne le langage médiatique, n’en garde que des bribes et les réinvestit dans des chorégraphies de personnages toujours entre l’abstraction et la figuration. Que ces sujets soient individualisés ou groupés en un effet de masse, tout est indéniablement d’une esthétique superbe. Qu’ils soient de petite taille ou de grande dimension, les tableaux offrent plusieurs niveaux de lecture.

Chaque personnage a ses propres traits, uniques, malgré l’anonymat qui caractérise sa silhouette. Chacun a ses contorsions ou sa fixité particulières, son jeu de couleurs, sa forme étrange spécifique. Chacun transgresse les lois de l’anatomie humaine, comme voué à une gymnastique impossible ou à un simple être là, les pieds posé sur aucun sol. Chacun n’est-il pas d’ailleurs ici qu’une suggestion, qu’une forme devenue signe ? Un signe qui lorsqu’il est multiplié - plusieurs centaines dans les grandes œuvres -, ne se définit qu’en fonction des autres, ne prend son sens que par rapport à eux.

La couleur  occupe dans les tableaux de Polackova  une dimension essentielle et représente parfois même leur sujet principal.

La critique d’art Danièle Gillemon achève son étude Le theatrum mundi de Maja Polackova par le constat : « Nombre d’artistes modernes et contemporains ont partie liée avec l’écriture, qu’elle soit directement au cœur des œuvres dans une démarche conceptuelle, comme chez Magritte, Broodthaers, Ben, Eerdekens, Opalka… ou qu’elle fasse étroitement corps avec la peinture. Alechinsky, Dotremont ont fusionné étroitement peinture et écriture en les libérant des codes et en leur infusant la fantaisie la plus débridée. La démarche de Maja est comparable puisqu’elle dévoie des caractères codés, stéréotypés pour les rendre à la plénitude et à l’autonomie de l’image… »

28 avril 2023

Vernissage de mon expo : REVES D'ADOLESCENT

Grand merci d'être venu voir (regarder...) mon expo dans cet espace qui a été celui de mes consultations depuis 1973 pendant 48 années.
J'ai d'abord créé cette atmosphère pour moi; je l'ai offert en partage; le vécu de chacun appartient à celle et celui qui s'implique dans le rapport créé ou non, en fonction de sensibilité singulière.
En tout cas, votre visite m'a profondément touché.
"A un de ces quatre".
Encore merci.
Amitiés.
José.
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10 février 2023

Le 25 mars la galerie fête ses 10 ans, Marc Hubert expose.

Cliquer sur 4 liens possibles  :
Brochure : vers la fin ou un début ? 
https://www.facebook.com/groups/Galeriedescollines
https://www.facebook.com/groups/Galeriedescollines/permalink/6253172354751190/
EXPOSITION
MARC HUBERT
Une obsession persistante : la liberté !
Du chaos, à la naissance du piéton, puis son cheminement jusqu’à la mort coloré par une obsession prégnante : la liberté.
Vernissage – cocktail le samedi 25 mars novembre de 17h30 à 20h.
**
les week-ends du 25/3 au 16/4 de 14h à 17h.
ensuite sur rdv jusqu’au 14 mai.
GALERIE des COLLINES
79 rue du Moulin – 5680 VAUCELLES (Doische, Givet)
00 32 496 952 413 hubertjose2004@yahoo.fr
Avec le soutien de l’ASBL LA Joncquière
MARC HUBERT
Une obsession persistante : la liberté !
L’œuvre de Marc Hubert apparaît s’articuler autour d’un fil conducteur prégnant, profondément humaniste et affectif. On perçoit chez l’artiste sensible, écorché vif, une nécessité vitale de liberté, modulée par un besoin d’affection, sous tensions contradictoires à certains moments.
Marc Hubert était un artiste de son temps... un gars de la ville, des centres urbains, des nuits glauques et des aubes enfumées. Entre « Bad boy » et « Fée clochette », il était omniprésent dans le milieu artistique underground carolorégien dont il faisait partie jusqu’à il y a peu et qu'il contribuait à dynamiser depuis des années.
Coraly Aliboni
Pour le Musée des Beaux-Arts de Charleroi, 2020.
Il n’hésitait pas à exprimer ses inquiétudes par rapport aux diktats imposés par certaines politiques qui influencent de façon restrictive le fonctionnement de la société – notamment l’emprise sur la culture –, le tout en s’en référant à l’image et l’idée qu’il se faisait de la justice : son importance au niveau social, mais aussi ses dérives.
When capilalism kill culturs, annotation derrière une toile peinte à l’acrylique en 2007 (coll. Musée des Beaux-Arts de Charleroi) ainsi que les sérigraphies présentant une sorte de déstructuration du Palais de Justice de Bruxelles en sont des exemples manifestes. Tout ce qui dégrade la culture, raccourcit les chemins qui mènent à la servitude, dit Albert Camus.
L’évolution de l’œuvre.
Le chaos, peut-être, la liberté, sans doute !
Je montre la peinture telle qu’elle est, c’est-à-dire tel un matériau vivant, affirme Marc Hubert. Sur les murs de sa chambre, Marc plaque des couches de peinture, par touches de couleur, offrant à voir de l’épaisseur.
À l’ERG, l’École de Recherche Graphique de Bruxelles, il présente un travail de fin d’étude sur la peinture matière, libérée du contenant, le pot, le tube.
Il aurait probablement été d’accord avec Eugène Leroy : Tout ce que j’ai essayé dans la peinture, c’est d’arriver à une espèce d’absence, pour que la peinture soit totalement elle-même.
D’abord, le chaos… puis l’inévitable naissance d’une forme incertaine et brute, déclare son amie Lana Paic, lors de son séjour dans le sud de la France de 2006 à 2011. C’est ainsi que la forme d’un piéton apparaît, regard pointé vers la gauche : les racines, le passé, son Pays Noir ?
Son ancrage : 2011, retour à ses racines et début de la reconnaissance.
Marc n’a jamais renoncé à quitter Charleroi, ni à y revenir, à l’image de l’un de ses poètes préférés, Arthur Rimbaud, qui a manifesté la même affinité par rapport à Charleville : On ne part pas, écrit-il dans « Mauvais Sang » paru dans Une Saison en enfer, 1873.
Au Centre de la Gravure et de l’Image Imprimée de La Louvière, en juin 2011, Marc présente son atelier de gravure et d’impression itinérant, Achille’Machine (coll. BPS 22). Il s’agit d’une belle reconnaissance lors de l’exposition « Chemin faisant ».
Fin 2012, le Musée des Beaux-Arts de Charleroi réalise l’acquisition de dix sérigraphies consacrées à la ville.
Affirmer la place de cet artiste dans les collections nous paraît une démarche pertinente. La relation qu'il avait nouée durant de très nombreuses années avec le territoire, n'a rien d'anecdotique et son travail confirme tout l'intérêt qu'il lui portait. Lui-même piéton aventurier et aventureux, Marc Hubert parcourait la cité de haut en bas, de gauche à droite. Il la sentait, la respirait, l'avalait, l'aimait, cette ville qu'il parait de couleurs. Du noir au noir, du jaune au vert, du bleu au rouge intense, sous son intervention, la ville a pris des allures « pop' art », sans nul doute puissantes et évocatrices, mais non dénuées de poésie. Artiste du territoire, œuvrant sur le territoire, soucieux de son présent et de son avenir, attentif aux gens qui y vivent, Marc Hubert a su conférer aux collections une énième et intéressante démarche vouée au rapport à la ville, l'une des notions fédératrices de notre patrimoine.
Coraly Aliboni
Présentation, Musée des Beaux-Arts de Charleroi, 2020.
Reconnaissance : À un moment donné, on en a tous besoin quand on doute un peu, faut pas courir après mais quand elle est là… Marc Hubert.
Cinq longues années de maladie, 2014-2019.
Tant que tu peux vis ! Tant que tu vis peux ! Marc Hubert.
Pendant cette période, éclate le lyrisme d’une abstraction toujours matiériste mais tempérée par la rigueur géométrique. L’apparition de formes géométriques crée le trouble… à l’image de ce qui semble apparaître en tant que nécessité ou obligation, c’est-à-dire un certain réaménagement interpellant des priorités dans cette quête de liberté, toujours affinée et réaffirmée, allant tant dans le sens de la déstructuration que dans celui de la structuration (2016). Le piéton réapparaît réorienté vers la droite, le futur.
Un personnage, toujours la même silhouette, marchant le plus souvent vers la droite – notre lecture ne se fait-elle pas de gauche à droite –, vers la lumière, vers demain. Silhouette solitaire mais aussi groupée. Nous sommes seuls mais devons vivre ensemble. J’ai eu l’occasion de rêver.
Gabriel Belgeonne, artiste, éditeur.
Tantôt seul, tantôt accompagné de mille autres, tantôt confronté à son double, le passant arpente les formes et les couleurs d’un univers si personnel que celui qui regarde se demande en quelle zone privilégiée de l’imaginaire figure ce monde médité, intense et presque magique. Et l’on se plaît à accompagner la marche de cette silhouette dont la fascination étrange et la présence inéluctable invitent à profiter de l’immense plaisir de vivre dans les espaces de l’art et de la création. Tantôt bourrasques de couleurs libres, tantôt constructions de géomètres sévères, les lieux de déambulation se devinent multiples et prometteurs de rencontres incisives et fertiles. Devenu passant lui aussi, le regardeur s’éprend de ce monde puissant qu’il veille à ne quitter que pour y revenir sans cesse.
Pierre-Jean Foulon
Conservateur honoraire au Musée royal de Mariemont,
ancien maître de conférences, enseignant.
Marc Hubert n’a eu de cesse que de jongler avec le potentiel du langage plastique grâce à sa maîtrise des subtilités de diverses techniques : le dessin, la peinture, la gravure, la sérigraphie. Il a dépassé la confrontation entre abstraction et figuration, expression lyrique et géométrique. Ses intuitions et son élan créateur nous ramènent à l’être humain confronté à la liberté, la justice, les signes directionnels, des références pour se situer au présent : d’où je viens, où suis-je, qui suis-je, où vais-je ? Son piéton, sorti du chaos de peintures matiéristes, en état d’hibernation pendant plusieurs années, renaît solitaire ou accompagné, troublé et troublant, cheminant toujours protégé par un certain optimisme qui se veut lucide vers un futur dont on connaît la fin. Tout cela nourrit la faim et la soif de l’imagination dont l’aspiration ne serait-elle pas la beauté éternelle.
P.S. Trois sérigraphies sont actuellement présentées dans l’exposition permanente du nouveau Musée des Beaux-Arts de Charleroi.

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Marc Hubert, "White magma", 2004, technique mixte sur toile , 60 cm x 80.

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24 janvier 2023

SINGULARITE SANS NOM

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SINGULARITE SANS NOM

 A partir de ce dimanche 28 janvier, une nouvelle exposition. 

Dans un premier temps, pas de vernissage, pas de noms d’artistes, pas de texte à propos des œuvres montrées.

Des représentations singulières, diverses techniques, du visuel ; toutefois, un minimum d'influence préalable.

Une proposition originale : éveiller l’intentionnalité de la conscience à propos d’un objet réduit à sa plus simple expression abstraite, l’Art, puis le contact concret, direct par une présence active sur place, en passant du statut de visiteur "naïf" non informé du contenu à celui de regardeur libre, capable d'émerveillement.


L’ART N’EST-IL PAS PRESENT TOUT AUTANT DANS L’INTENTION DE DECOUVRIR, SANS A PRIORI, PREJUGES, IDEES PRECONCUES, TABOUS QUE DANS CELLE DE CRÉER UNE REPRESENTATION.

 
Sur place, confrontation logique de deux présences : celle vivante du regardeur, les yeux dans les yeux avec celle des artistes, par l'intermédiaire des œuvres, proposées à la découverte, à faire vivre… confrontation possible entre univers singuliers. Et des recoupements possibles dont les effets ont parfois la saveur de l’universalité.


Dans un premier temps, pas de vernissage, pas de noms d’artistes, pas de texte à propos des œuvres présentées, un maximum de liberté dans l'approche, l'ultime regard, sa propre découverte en confrontation avec ce qu'il sera dit après coup des artistes et de leur démarche, si le visiteur en manifeste le désir.

 
Ouverture non systématique : uniquement sur RDV au 00 32 496 952 413 ou hubertjose2004@yahoo.fr

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9 janvier 2023

Deux articles sur les expositions récentes de Céciile Miguel et Béatrice Libert.

Deux articles sur les expositions récentes de Céciile Miguel et Béatrice Libert.

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31 octobre 2022

Le monde poétique de Béatrice LIBERT: vernissage le 12 novembre de 17 h à 20 h.

Incidence/dissidence
Peintures de Béatrice Libert
Vernissage le 12 novembre 2022

                                             

© Béatrice Libert, Petite banlieue, gouache sur papier, 2017.

Vernissage – cocktail le samedi 12 novembre de 17h30 à 20h.

Exposition les week-ends du 12/11 au 27/11 de 14h à 17h.

Les week-ends suivants sur rdv jusqu’au 18/12.

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Passer de l’écriture à la peinture, c’est pour moi, le privilège d’explorer un autre langage. Libre de toute figuration comme de toute abstraction, je tente de marier formes et couleurs.
De mon travail en perpétuel questionnement, il se dégage trois sujets : celui de mes petits personnages surnommés « Biduliens », celui des « Villes imaginaires » et, plus abstrait et graphique, celui des « Glyphogrammes ».
Ces trois thématiques ont en commun de proposer des univers totalement inventés, surgis d’une sorte de danse libre de la main sur la feuille. Mes créations spontanées distillent étonnement et joie de vivre.
Il ne s’agit pas ici d’affirmation, mais de tentatives dans l’appro-ximation, l’inachevé, le tâtonnement, l’expérience toujours inaccomplie. Démarches proches de celle de la poésie, comme des arts dits singuliers.
Paraphrasant le poète Claude Roy, je pourrais dire que je peins pour savoir ce que je ne savais pas que j’allais peindre…
Une aventure émotionnelle intense pour moi qui pensais ne pas savoir dessiner…
Béatrice Libert
Incidence/dissidence
Incidence : nom féminin.
(Latin : incidens, participe présent de incidere, tomber sur, arriver par hasard.)
Physique. Chute, sur une surface d’un rayon, d’une onde d’une bille, de tout ce qui peut être réfléchi. Angle d’incidence, angle sous lequel un mobile ou un rayon de lumière rencontre le plan sur lequel il doit se réfléchir. Géométrie. La rencontre d’une ligne ou d’une surface avec une ligne ou une surface.
Littré
Répercussion plus ou moins directe de quelque chose ; conséquence
Synonymes : contrecoup - éclaboussure effet  - prolongement rançon ricochet  - suiteLarousse en ligne.
Ce qui arrive, survient ; circonstance, incident.
Rencontre d’une ligne, d’un corps et d’une autre ligne, d’une surface, etc.Le Robert
Dissidence : nom féminin. (Latin : dissidere : être en désaccord. Différence d’opinion ; dissentiment, divergence.
Contraires : accord, concorde, union, conformisme. Le Robert
Béatrice Libert est l’auteur de livres de poèmes, récits, roman, essais, livres d’artistes, et livres pour la jeunesse. Elle anime des ateliers d’écriture depuis plus de trente ans et pratique la peinture depuis une douzaine d’années. Passionnée par l’art sous toutes ses formes, elle a fondé le Festival des Arts à Cointe et cosignés plus de cinquante livres d’artistes avec des peintres, graveurs et photographes.
Professeur de français à la retraite, elle se consacre à littérature et à la peinture.

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13 octobre 2022

Changement: Incidence/dissidence BEATRICE LIBERT à partir du 12/11 , l'EXPO de Cécile MIGUEL prolongée jusqu'au 30 octobre.

 
Incidence/dissidence
Peintures de Béatrice Libert
Vernissage le 12 novembre 2022

                                             

© Béatrice Libert, Petite banlieue, gouache sur papier, 2017.

Vernissage – cocktail le samedi 12 novembre de 17h30 à 20h.

Exposition les week-ends du 12/11 au 27/11 de 14h à 17h.

Les week-ends suivants sur rdv jusqu’au 18/12.

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Passer de l’écriture à la peinture, c’est pour moi, le privilège d’explorer un autre langage. Libre de toute figuration comme de toute abstraction, je tente de marier formes et couleurs.
De mon travail en perpétuel questionnement, il se dégage trois sujets : celui de mes petits personnages surnommés « Biduliens », celui des « Villes imaginaires » et, plus abstrait et graphique, celui des « Glyphogrammes ».
Ces trois thématiques ont en commun de proposer des univers totalement inventés, surgis d’une sorte de danse libre de la main sur la feuille. Mes créations spontanées distillent étonnement et joie de vivre.
Il ne s’agit pas ici d’affirmation, mais de tentatives dans l’appro-ximation, l’inachevé, le tâtonnement, l’expérience toujours inaccomplie. Démarches proches de celle de la poésie, comme des arts dits singuliers.
Paraphrasant le poète Claude Roy, je pourrais dire que je peins pour savoir ce que je ne savais pas que j’allais peindre…
Une aventure émotionnelle intense pour moi qui pensais ne pas savoir dessiner…
Béatrice Libert
Incidence/dissidence
Incidence : nom féminin.
(Latin : incidens, participe présent de incidere, tomber sur, arriver par hasard.)
Physique. Chute, sur une surface d’un rayon, d’une onde d’une bille, de tout ce qui peut être réfléchi. Angle d’incidence, angle sous lequel un mobile ou un rayon de lumière rencontre le plan sur lequel il doit se réfléchir. Géométrie. La rencontre d’une ligne ou d’une surface avec une ligne ou une surface.
Littré
Répercussion plus ou moins directe de quelque chose ; conséquence
Synonymes : contrecoup - éclaboussure effet  - prolongement rançon ricochet  - suiteLarousse en ligne.
Ce qui arrive, survient ; circonstance, incident.
Rencontre d’une ligne, d’un corps et d’une autre ligne, d’une surface, etc.Le Robert
Dissidence : nom féminin. (Latin : dissidere : être en désaccord. Différence d’opinion ; dissentiment, divergence.
Contraires : accord, concorde, union, conformisme. Le Robert
Béatrice Libert est l’auteur de livres de poèmes, récits, roman, essais, livres d’artistes, et livres pour la jeunesse. Elle anime des ateliers d’écriture depuis plus de trente ans et pratique la peinture depuis une douzaine d’années. Passionnée par l’art sous toutes ses formes, elle a fondé le Festival des Arts à Cointe et cosignés plus de cinquante livres d’artistes avec des peintres, graveurs et photographes.
Professeur de français à la retraite, elle se consacre à littérature et à la peinture.

fruit défendu batrice libert 2020 acrylique sur bois (4)

Cécile Miguel, Libre

 
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